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| | Meduse (version personnel) | |
| | Auteur | Message |
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Iskaras Initié
Messages : 23 Réputation : 0 Date d'inscription : 10/07/2016
| Sujet: Meduse (version personnel) Lun 11 Juil - 22:02 | |
| Voici la légende de Méduse, la plus célébre des gorgones. C'est une version personnel que j'ai faite en plusieurs chapitre. Le fruit de recherches sur les differentes version du mythes et de recherches historique. Il n'est pas fini mais je vous laisse découvrir le premier chapitre ! | |
| | | Iskaras Initié
Messages : 23 Réputation : 0 Date d'inscription : 10/07/2016
| Sujet: Re: Meduse (version personnel) Lun 11 Juil - 22:03 | |
| Chapitre 1 - Spoiler:
Cela commença par une journée des plus calmes et des plus habituels. Les saisons fraiches approchaient à grands pas et tout le peuple s’y préparait. D’allant du politicien au plus humble des paysans. Ce fut aussi le cas de Pelagios, un fermier grec qui vivait à l’écart de la cité dans une ferme situait dans la vallée des bergers. Bien qu’il ne possède pas beaucoup de drachmes, il avait une bonne propriété, une maison modeste en pierre comportant les pièces essentielles pour la vie quotidienne tels une cuisine, un petit salon, une salle de bains ainsi qu’une chambre. Et ce qui composait l’essentiel de son domaine, des enclos où il y élevait avec sa femme des cochons, des moutons et quelques vaches. Pelagios s’y trouva exactement, une étable positionnée de l’autre côté du terrain. Le fermier y mettait de l’eau dans l’abreuvoir et du nouveau foin. Une activité bien physique pour cet homme qui était visiblement bien maigre, mais pourtant, il tenait toujours le coup sans montrer le moindre signe de fatigue même la trentaine passée depuis un moment. Il devait faire ce travail chaque jour que les dieux lui accordaient pour ainsi assurer la survie de sa famille ainsi que celle de la cité.
Après avoir terminé avec les vaches, il prit un sceau qu’il avait rempli de lait avant et s’en alla retourner chez lui. Il dut traverser toute sa propriété, à travers les poules qui étaient en libertés et devant les regards agar de ses chèvres. Pour rentrer, il passa par une petite terrasse en bois qu’il avait construit lui-même il y a quelques années pour arriver en premier lieu à la cuisine. Une pièce bien petite remplis de meuble de cuisine avec de la nourriture et des couverts disposer dessus. Passant par la seconde porte, Pelagios arriva dans ce qui servait de salle à manger. Une simple table en bois avec deux chaises faites du même matériau. La particularité est que cette salle permettait d’avoir accès au reste de la maison, la porte nord menait à la cuisine, la porte est à la chambre à coucher, la porte ouest à la salle de bains et la porte sud était l’entré principal. Il n’existait que deux moyens pour éclairer cet endroit, soit la lampe à huile posée en centre de table ou les deux fenêtres, chacune à côté de la porte d’entrée donnant une vue sur tout ce qui approchait à l’extérieur.
Pelagios posa son sceau de lait sur la table imaginant les divers plats possibles avec ce liquide. Il se mit à se caresser sa longue barbe qui descendait jusqu’à la poitrine tout en se léchant les lèvres. Après une dure journée, il voudrait bien pour récompense un bon plat. C’est alors qu’il entendit des pleurs provenant de la chambre. Pelagios tourna sa tête vers cette direction et devina de quoi il s’agissait. D’un pas lent, il alla ouvrir la porte. La chambre était décrépite et comportait un lit double en chêne avec un matelas en laine, une commode disposée dans un coin. Une seule fenêtre avec des barreaux diffusait de la lumière dans cet endroit, situé en hauteur au-dessus du lit. Sur ce dernier, était assise une femme approchant de la trentaine, blonde les cheveux attachés, bien en chair, portant une tunique grise avec un châle. Cette femme se nommait Calliopé, la femme de Pelagios. Ce dernier alla s’asseoir à côté de son épouse et la prit dans ses bras.
Calliopé tourna doucement la tête vers son homme, les yeux rouges et les larmes coulants sur son visage. Elle colla sa tête contre l’épaule de son mari en s’englobant : « Je suis désolé mon époux. Je n’ai pas réussi, je ne suis pas enceinte. Pelagios la serra d’avantage dans ses bras et l’embrassa tendrement sur le front lui disant, de façon à la rassurer : -Ce n’est pas grave mon amour. Rien ne presse. -Mais, Pelagios, nous nous faisons vieux et tu auras besoin d’aide pour l’élevage et assurer la relève quand nous irons dans l’Hadès. J’ai fait des prières et diverses offrandes à Héra pendant des années, mais il semble que je sois inféconde. » Pelagios voulut la rassurée du contraire, mais il savait qu’elle avait raison. Jusqu’ici, il avait toujours assuré le bon fonctionnement de sa ferme, mais un jour, il ne pourra plus et il ne saura ce qu’il en deviendra de ses biens et de son terrain. Il se proposa de préparer un petit plat avec le lait pour l’aider à se détendre. Il fit un gâteau simple avec du lait chauffé. Ce n’était pas la première fois qu’il en faisait, comme sa femme l’avait dit, cela durait de nombreuses années qu’elle attendait d’avoir un enfant sans succès.
Le soir même, elle avait du mal à trouver le sommeil, elle gémissait en reniflant laissant son esprit se torturer à cause de cela. Pelagios vint la rejoindre pour l’enlacer de nouveau et se mit à l’embrasser de partout. Bien qu’elle ne fût pas dans une grande joie, Calliopé voulu bien se laisser emporter par son mari. Tous deux se laissèrent aller dans cette nuit de tendresse et d’amour. Elle se disait que ce petit moment pourrait la réconforter et peut être aussi l’aider davantage à avoir un enfant, telle une tentative de dernière chance. Elle se doutait bien qu’il n’y avait pas plus de chance qu’avant, mais peu importe, elle voulut tout de même essayer sans tenter quoi que ce soit de risquer, pour l’instant. Le temps poursuivit sa course. Le temps se rafraîchissait de plus en plus avec ses pluies et les vents qui arrivaient de plus en plus nombreux. Pour beaucoup de monde, cela signifiait que la douce déesse Persephone allait bientôt redevenir la sombre reine des enfers. Cette pensée était bien triste. Calliopé sentit son humeur évoluer de même. Elle perdit espoir pendant un moment, ne désirant plus avoir d’enfant, se persuadant qu’il était désormais trop tard. Pelagios ne savait plus quoi faire pour lui remonter le moral. Il sentit la fatigue le gagner ainsi que le fait d’être impuissant pour son épouse. Et pourtant, pendant un certain temps, de nombreux signes se dévoilaient à eux. Depuis de nombreux jours, Calliopé sentit sa santé se dégrader. Non seulement à cause de sa tristesse et de l’âge, mais à cause d’autre chose. Depuis peu, Calliopé avait des douleurs telles des maux de cœurs ainsi que des nausées. Croyant qu’il s’agissait d’une maladie grave liée à son infécondité, elle demanda à Pelagios d’appeler un médecin. Ce dernier installa confortablement Calliopé au lit avant de courir le plus vite possible. Le mieux aurait été de rejoindre la cité pour faire appel à un praticien, mais il ne voulait laisser son amour trop longtemps toute seule. Il se contenta de rejoindre le village. Il remonta le plus vite possible le chemin qui passait devant chez lui pour traverser un bois et arriver en quelques minutes au village. D’un style pittoresque, ce petit village servait de refuge pour beaucoup de personnes étant dans le besoin. Comme pour beaucoup de service qui demandait un gros paiement, le village Ptochos offrait de l’aide comme un médecin ou une éducation à faible coût. De là, Pelagios était sûr de trouver la personne adéquate pouvant aider sa tendre. D’ailleurs, il n’y avait qu’un médecin ici, Arkadios. Un homme de cinquante ans ayant voulu offrir son aide à toute personne se trouvant dans le besoin, contrairement à beaucoup de ses collègues qui n’offrent leur service qu’aux plus offrants.
Pelagios le trouva en train de soigner un jeune enfant qui s’était blessé au bras. Il se mit à exposer la situation tout essoufflée par sa course. Le médecin sentit son cœur s’affoler, une pauvre femme malade. Il termina le bandage de l’enfant et partit avec Pelagios chez lui. Ils trouvèrent la pauvre Calliopé en train de vomir. Le praticien se mit rapidement à l’ausculter et à la questionner pendant quinze minutes, vérifiant et revérifiant certains symptômes. C’est alors qu’il se retourna vers le couple et se mit à leur dire : « J’ai toutes les raisons de croire que Calliopé soit enceinte ».
Le couple ne sentit plus leur corps. Ce fut un véritable choc. Pelagios manqua de s’emporter croyant à une blague, mais Arkadios le rassura qu’il ne s’agissait nullement d’une plaisanterie. C’est alors que Pelagios et Calliopé se laissèrent déborder d’émotion, se prenant dans les bras de l’un et de l’autre, s’embrassant et pleurant de joie. Arkadios se mit à leur expliquer qu’il faudrait surveiller de près la grossesse et qu’il connaissait une femme sage qui pourrait les aider lors de l’accouchement.
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| | | Saad Tyran
Messages : 575 Réputation : 22 Date d'inscription : 27/06/2016 Localisation : J'aurais bien une idée mais ça va pas te plaire.
| Sujet: Re: Meduse (version personnel) Lun 11 Juil - 22:17 | |
| Bon, plusieurs choses: Relis-toi, certaines répétitions sont très lourdes. Les répétitions doivent être évitées à tout prix sauf pour donner un effet précis dans une figure de style. Si tu n'en fais pas dans la phrase c'est qu'elle doit être supprimée. Si tu n'as pas de synonymes ou de figure de style sous la main, prends un dico de synonymes, y'en a aussi en ligne. Du genre: "village", tu peux l'appeler "petite bourgade", "patelin", "communauté", etc etc... Tout est bon pour éviter les répétitions, voir être élusif. Autre chose: Les descriptions, c'est bien. Les explications, c'est la MORT du récit. Si tu expliques quelque chose, ne l'explique pas. Décris la scène avec détail, et si jamais quelqu'un dit quelque chose à quelqu'un d'autre, fais un dialogue, même petit, même court, mais rends ton récit vivant. Je n'ai pas détesté ton récit, loin de là, mais j'ai pas été transporté. Sur la fin tu as juste expliqué l'action plutôt que de la décrire. Pense à faire vivre ton récit, mets des figures de style, mets ta patte, et ne laisse rien au hasard: Chaque phrase compte. Et je dis pas ça de travers, chaque mot, chaque virgule, chaque marque de ponctuation et chaque saut à la ligne compte tout autant. C'est ce qui fait de ton récit ce qu'il est: La ponctuation et les sauts de ligne modifient le rythme, le rendant long, lent, ou saccadé, c'est toi qui vois. Les figures de style dénotent de ton style et donnent vie à l'action, le lexique et le mode de langage peut faire transparaître l'ambiance de la scène, allant de l'angoissant au solennel, en passant par le festif,voir l'ambiance de taverne.
De la même façon, il y a de nombres erreurs de grammaire et de conjugaison. La concordance des temps est très importante, relis ton texte et tu verras qu'elle est parfois bafouée, ce qui donne un aspect très très amateur.
Ensuite, je t'invite à revoir la culture grecque. "L'Hadès", comme tu l'appelles, n'est pas un lieu mais un dieu. Tu peux parler du "Domaine d'Hadès", mais pas de "l'Hadès", Hadès étant le dieu des Enfers et des Morts. De la même façon, je suis dubitatif quant aux pièces de la maison, elles ne me semblent pas coller avec la culture grecque. Essaie de te renseigner dessus. Ensuite, une autre chose, je sais que de nos jours il n'est plus d'actualité, mais il me semble qu'à l'époque le serment d’Hippocrate était très important pour les médecins, je ne crois donc pas trop à la thèse du médecin altruiste seul contre tous.
Bon courage pour la suite, réécris le texte et corrige-toi. Je suis impatient de voir la suite. | |
| | | Justbazz Vétéran de la Première Heure
Messages : 197 Réputation : 9 Date d'inscription : 01/07/2016 Localisation : La Terre...Je crois...
| Sujet: Re: Meduse (version personnel) Mar 12 Juil - 0:13 | |
| J'ai vraiment trouvé ça agréable à lire! C'est vrai qu'il y a pas mal de fautes que tu aurais pu éviter en te relisant mais j'ai hâte de découvrir la suite et ça, c'est bon signe non? | |
| | | Iskaras Initié
Messages : 23 Réputation : 0 Date d'inscription : 10/07/2016
| Sujet: Re: Meduse (version personnel) Ven 15 Juil - 13:50 | |
| Je vous remerci à vous deux pour vos commentaire et vos conseils. Oui je ne suis pas un champion de l'orthographe mais je proécederais aux modifications qui s'impose Par contre cela prendra du temps. Et je proposerais la suite si cela vous dit^^ Encore merci | |
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| Sujet: Re: Meduse (version personnel) | |
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| | | | Meduse (version personnel) | |
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