Salut les drôles
Je viens pour poster quelques poèmes, inspirés par mon Seigneur Jesus Christ.
Ya surement des fautes, mais le coeur y es
Depuis le sein ma mère je ne cesse de souffrir
attendant la fin, patientant mon dernier soupir
qu’ait-je fait au monde, dont je suis l’abcès
un enfant de Dieu peut il goûter d’ici-bas les doux mets ?
Folie divagante, aux vagues lointaines
heurtant les rochers, violence qu’elles amènent
emportant tout l’univers aux vents,
jusqu’au coeur le fragilisant
Observez les cieux ! Sont-ils encore scandale
de ceux qui font périr, eux qui méditent le mal
Car c’est de leurs regards que mon âme se meurtrit
transperçant celle-çi, flèches qui m’ont flêtries.
Tendant alors mes mains impures aux cieux
espérant y voir un peu de mon Dieu
Je pleure et crie à l’éternel de mon souffle éphémère
De peur qu’un jour, je retourne au ventre de ma mère
Et que ce repos soit infini, ou nul lumière ne luit,
Et que ce lieu jamais le fuir je ne puis
puisant de mes forces pour y respirer,
Eternel sois mon souffle, renverses ma destinée
Jim
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C’est à l’ombre de larges coups d’épées
que mon armure fût transpercée
que mon coeur s’est enfin révélé
C’est du sang des batailles qu'il s'est enivré
Mon coeur criait et ma poitrine était nue
C’est ma mort que mes ennemis ont voulu
Alors entre les mailles de mes côtes est venue,
une grande lumière, tous furent alors vaincus
Ne laisses pas ton bouclier ! Suit moi
Le combat est long mais ne te retournes pas !
Sois aveugle pour un temps retraces mes pas
Les milles palais ne sont pas loin de là !
L’armure est tombée et je n’eût plus peur
Car mes larmes et mes cris couvraient les leurs
Et c’est avec lui que j’avançai tête contre son coeur
Sous ses battements, plus rien alors ne meurt.
Jim
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Brume épaisse de mon esprit, ou nul œil ne perce
Qu’il souffle dessus, et qu’elle se disperse !
Laissant voir la lumière au large de la mer,
comme un lointain souvenir, éternelle éphémère
Naviguant en l’arche déchue,
Sous le ciel étouffé, des nuées et nue
le mat se déchire aux quatres vents
ballotté comme les vagues souvenirs d’antan
C’est alors que le temps nous sépare
mais que luit toujours cette flamme d’espoir
Que nos yeux, et nos chairs ne peuvent palper,
C’est alors l’esprit qu’elle éclaire en vérité
A la lumière des pages brûlantes
ainsi nos coeurs en sont l’antre,
d’un Roi qui dirige toutes les barques
devant les marées, jamais elles ne se braquent
Quand vais-je en vois la rive,
Mon âme pleure de ses dérives
Et mes mains jointes vers les cieux
je crie et le sel coule des paupières de mes yeux
Jim
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Otes ma couronne car elle n’est que de verre
Et les princes de ce monde viennent me la briser
Otes mes vêtements et déchires les
C’est alors nue que je retournerais à la terre
Ensevelis sous milles rochers
Ou la pluie par grosse gouttes viens les user
comme les larmes des mères d’orphelins
Viens alors la vie, viens alors ta main
Oh quel père est tu, toi qui m’a pécher
Comment as tu fait, toi qui ne m’a point enfanter
A qui vais-je alors emprunter l’épaule,
si ce n’est pas d’amour que je t’attribue le rôle
Viens dans mon palais, et fais y ta deumeure
même si la poussière y est épaisse
viens et noies toi dans mes pleurs
voles tout et que rien tu ne laisses
Pardonnes-moi, j’ai éteint la bougie,
mais éclaires la pièce, par ton Saint Esprit
Pardonnes moi, je n’ai aucune nourriture à t’offrir
c’est de mon coeur, que je veut te rassasier
Jim
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Merci à tous j'espère que ça vous plaît
Jim
Gloire a Dieu pour ce qu'il nous a donné de faire.