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 [NOUVELLE] Maltraité et ignoré

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Terrafox
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MessageSujet: [NOUVELLE] Maltraité et ignoré   [NOUVELLE] Maltraité et ignoré Icon_minitime1Mar 1 Nov - 17:13

Maltraité et ignoré

Ma vie était si difficile dans cette maison... Je n'en pouvais plus, mes parents oubliaient de me donner à manger. Je n'avais de la nourriture que lorsqu'il voyait que je ne tiendrais plus sans. Je n'allais pas jouer avec les autres, je restais toujours dans le garage. J'y dormais, j'y mangeais, j'y faisais mes besoins et j'y jouais seul comme je pouvais. Un bout de chiffon était mon seul compagnon... Plus je grandissais, plus mes parents ne m'approchaient pas et plus je comprenais alors que quelque chose n'allait vraiment pas. Je ne devais pas subir ce sort. Au bout d'un moment, je me décidai à leur hurler dessus pour qu'ils me laissent sortir. Mais cela accrut la peur qu'ils avaient de moi, et ils m'attachèrent à un des poteaux dans le garage. Je continuai de crier encore quelques jours, puis j'arrêtai totalement abattu. Les jours passèrent, je ne bougeais quasiment plus, étant épuisé après le moindre geste. Voyant que je m'étais calmé, mes parents osèrent me détacher, mais me mirent dans une boîte juste après, un boîte à barreau. C'était comme une prison. J'étais complètement horrifié à l'idée de passer le restant de ma vie dans cette endroit, je commençai alors à me frapper la tête contre les barreaux, je ne voulais plus vivre. Ce n'était plus vivre à ce moment là. Je m'arrêtai de manger même ce qu'il me ramenait. Mais mes parents n'en entendaient pas de cette oreille, ils allèrent jusqu'à me forcer à manger pour ne pas que je meurs, ils voulaient me voir souffrir comme Cerbère devant les âmes des damnés. À un moment, ils ne m'appelèrent même plus par mon joli prénom: Tom, mais parlèrent de moi comme une bête, un monstre ou encore une chose... Je n'en pouvais plus. Et un soir, alors que le soleil commençait à se coucher, apparut à la petite fenêtre du garage un oiseau. Il était si beau avec son magnifique plumage rougeâtre, et il était libre. C'est à ce moment que je compris ce que je devais faire: de temps en temps, mes parents ou plutôt mes gardiens, me sortaient dehors pour nettoyer ma prison. Je pourrais ainsi en profiter pour m'enfuir. Lorsque cette idée me vint, elle resta ancrée dans ma tête jusqu'au jour fatidique, je n'avais fait que d'y penser, sans cesse. Mon plan se répétait en boucle dans ma tête, je savais chaque mouvement que j'allais faire. Pendant les jours qui me séparaient de ma fuite, j'avais dormi et mangé le plus possible pour faire le plein de forces.

Le jour décisif arriva enfin, j'entendis la voiture de mes parents vrombir. Elle se gara et les pas de mon père se mirent à résonner dans ma tête, puis la porte s'ouvrit en émettant un grincement plaintif, un raie de lumière traversa la pièce et l'ombre de mon père atterrit devant moi. Il s'approcha lentement comme à chaque fois et prit un air menaçant en ouvrant la grille. Il me fit sortir en me tenant par le col et m'emmena dehors. Ça allait être dans quelques secondes, à peine m'avait-il lâché pour récupérer la corde que j'étais déjà parti en courant. Il se retourna en hurlant, et ma mère qui était encore en train de fermer le portail me regarda arriver en écarquillant les yeux. Elle se mit alors à trembler de tout son corps, je courais vers elle en lui criant dessus, elle tomba sur son derrière et des larmes coulèrent sur ses joues. Elle se cacha le visage avec ses mains et je passai à côté d'elle à toute vitesse. Je m'engageai dans la rue et continuai de courir sans m'arrêter. Les maisons défilaient sur les côtés, et j'arrivai bientôt vers les bâtiments commerciales. Je m'arrêtai de temps à autre pour souffler et demander de l'aide aux passants, mais la seul réponse que j'avais était leur peur. Ils reculaient en me voyant arriver et certains tentaient même de me frapper. Je pleurais et reprenait le course à chaque refus des gens. J'étais seul et personne ne m'aidait ! Ils pouvaient pourtant voir ma souffrance, mais ils ne faisaient rien à part me rejeter, me fuir et me repousser. J'avais beau hurler, pleurer et crier, rien n'y faisait... Plus je courais, moins on s'intéressait à moi et plus j'étais fatigué, mes forces me quittaient. Bientôt, je ne pouvais plus que marcher et mes cris s'étaient réduit à des couinements. Je dus me résigner au bout d'un moment, lorsque le soleil se coucha, à me réfugier sous un pont...

Ma première nuit dehors fut aussi la dernière, et bien heureusement d'ailleurs ! Je n'aurais pas tenu une de plus... L'air était horriblement froid, et j'étais obligé de dormir sur des cartons. Le vent soufflait sur mon corps et passait outre la protection blanche dont j'étais vêtu. Des gouttes d'eau tombaient de façon monotone a coté de moi, et le bruit des voitures qui passaient non loin venait briser le silence d'horreur qui emplissait ce lieu. J'avais terriblement froid, mon cerveau était malmené et mon corps tremblait. J'étais accablé, et malheureusement, je ne pus retenir mes pleurs plus longtemps et je fondus en larme en cachant mon visage. J'étais secoué par mes sanglots et je n'arrivais pas à dormir, finalement je réussis à me calmer tant bien que mal et m'assoupis en un rien de temps.

Tôt le matin je fus réveillé par le vrombissement des voitures. Le soleil se levait à peine et projetait sous le pont une faible lumière orange. J'ouvris les yeux, fatigué de m'être endormis si tard, puis je me levai difficilement, les jambes légèrement tremblantes. Je regardai autour de moi en me demandant ce que j'avais fait pour mériter ça. "Je n'ai pas de parents... Pas d'amis... Pas de maison... Rien." Je sortis, remontai vers la route et me remis à marcher lentement. J'avais faim, j'étais faible et j'étais seul. La mort m'entaillait le ventre, la fatigue cernait mes yeux de noir et mes pleurs avaient terni ma peau. Je parcourais les rues en regardant les gens de temps à autre, mais eux m'ignorer. Ou s'il me regardait, je voyais dans leurs yeux du dégoût et voir même du dédain. J'étais sûrement horrible à voir, laid et repoussant. Plus le jour passait et plus les forces me quittaient, je marchais sans m'arrêter, demander de l'aide à des personnes au hasard qui gardaient toujours leur distance avec moi. Et puis en pleine après-midi, alors que l'animation de la ville emplissait l'air ambiant de bruits en tout genre, le ronronnement d'un moteur de voiture parvint à mes oreilles. Je tournai instantanément la tête, reconnaissant malheureusement ce bruit. Là, au bout de la rue, une voiture, celle de mes soi-disant parents. J'écarquillai les yeux et eut extrêmement peur, la voiture accéléra et, poussé par un élan de terreur, je me mis à courir pour leur échapper. "Ils m'ont vu ! Ils m'ont vu !" Me répétais-je continuellement. J'arrivai alors sur un parking remplit de véhicules. Je me précipitai entre les rangers alors que ceux qui me poursuivaient s'engouffrer à peine dans le virage avant le parking. Et là, se produit l'incroyable ! Alors que je passai à côté d'une camionnette, une femme m'arrêta. Je la regardai sans comprendre ce qu'elle voulait, puis elle ouvrir la porte et m'invita de monter à l'intérieur. Derrière moi, le bruit du moteur que je fuyais pour ma vie se rapprochait lentement mais fatalement. Sans réfléchir plus d'une seconde, je montai en vitesse et me retrouvai dans le coffre. La femme me regarda en souriant puis ferma la porte avant de se précipiter vers porte conducteur. Elle entra, s'installa sur le siège et démarra la voiture. Elle partit en trombe en passant à côté de mes traqueurs et on prit la route. Durant tout le trajet, elle me répétait: "Ça va aller maintenant, on va prendre soin de toi." J'étais épuisé et un bonheur incompréhensible prit possession de moi. Je me couchai et profite de ce voyage pour me reposer.

La portière s'ouvrit et la lumière me réveilla de ma sieste. Je descendis du véhicule et regardait ma sauveuse, elle me sourit et passa sa main sur ma tête pour m'ébouriffer. Elle m'emmena ensuite dans un grand bâtiment entouré de nature et là je pleurai. Des dizaines d'autres comme moi étaient là ! Ils jouaient, dormaient et rigolaient ensemble ! J'étais comblé... Ma sauveuse s'approcha de l'accueil et parla à une autre dame:

"-J'en apporte un autre, décidément on s'en prend de plus en plus à eux..."

La dame se pencha par dessus le comptoir et me regarda avec empathie.

"-Effectivement, et celui-ci à l'air d'avoir souffert...

-Oui. Bon, tu fais les documents je l'emmène dans sa nouvelle chambre" déclara ma sauveuse.

Je me décidai à la suivre et elle me fit entrer dans une pièce immense, composé d'un lit, d'étagères, de jouets et de plein d'autres conforts ! Je rentrai complètement heureux et pleurai de joie. Celle à qui je devais tout me sourit puis ferma la porte en me disant de m'installer. Avant qu'elle ne ferme je l'entendais dire quelques mots à la dame du comptoir:

"-C'est... t... as... gistré... brador... ?"

Je n'y fis pas plus attention et m'installai dans mon nouveau chez moi où je me fis aussi plein d'autres amis avec qui je jouai. J'étais enfin heureux dans ce lieu qu'on appelait entre nous le Spa.

(PS: encore une fois désolé pour les fautes... je pense essayé de trouver un moyen de corriger efficacement une prochaine fois)
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Saad
Tyran
Saad


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Localisation : J'aurais bien une idée mais ça va pas te plaire.

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MessageSujet: Re: [NOUVELLE] Maltraité et ignoré   [NOUVELLE] Maltraité et ignoré Icon_minitime1Mer 2 Nov - 19:21

Les erreurs !

Syntaxe:
"Plus je grandissais, plus mes parents ne m'approchaient pas et plus je comprenais alors que quelque chose n'allait vraiment pas"

"plus mes parents ne m'approchaient pas" n'est pas français, ça ne se dit pas.

Cela devrait donner:
"Plus je grandissais moins mes parents m'approchaient... Je comprenais alors que quelque chose n'allait pas."

Et c'est à peu près tout. Sans blague, c'est bien écrit, c'est même assez prenant. Tu t'améliores et je trouve que c'est de loin ta meilleure nouvelle. De plus l'éclat d'espoir à la fin m'a fait beaucoup sourire.

Après, on a très vite compris que c'était pas un humain, personnellement je l'ai pigé dès les premières lignes, tu aurais pu cacher cela de manière plus efficace, mais c'est néanmoins une bonne, très bonne nouvelle. T'as ma totale approbation, beau boulot p'tit gars.
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